Thé noir chinois Panyong Golden

Thé Chine délicat, doré et doux

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Thé noir chinois Panyong Golden - Thés

Thé noir chinois Panyong Golden

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Moment de dégustation :
Moment de dégustation : Tout au long de la journée
Temps d'infusion :
Temps d'infusion : 3-5 min
Température de l'eau :
Température de l'eau : 90°C

Couleur : Thé noir

Origine : Mont Taimu, province du Fujian, Sud-Est de la Chine, face à Taiwan.

Région : Le Mont Taimu se dresse face à la mer de Chine orientale, à proximité immédiate des côtes. Les jardins de thé sont situés à 1200 mètres d’altitude, à une quinzaine de kilomètres de l’océan, ce qui permet aux brises marines et aux brumes côtières d’imprégner les plantations et de contribuer à la douceur, à la texture moelleuse et à la complexité du thé. Cette proximité influence directement le caractère singulier du Panyong Golden, en lien étroit avec son terroir maritime.

Aspect des feuilles séchées : Longues feuilles d’un beau brun sombre, en forme d’aiguilles fines et torsadées illuminées par des bourgeons dorés et lumineux.

Infusion : La liqueur révèle une robe ambre foncée, lumineuse, traversée de reflets dorés.

Notes de dégustation : Au nez, l’infusion est veloutée et ample, au parfum intense de céréales maltées, rehaussé de nuances miellées et suaves. En bouche, la liqueur offre une belle richesse, ronde et prolongée, développant des accents de noisette, de cacao doux et une finale délicatement sucrée, laissant la bouche fraîche et enveloppée, sans astringence.

Moment de dégustation : Reconnu pour une teneur modérée en théine, le Panyong Golden est suffisamment tonique, sans être trop puissant, pour accompagner le matin ou les débuts de journée, ce qui permet de le savourer également l’après-midi.

Thé d’exception cultivé en altitude, le Panyong Golden se récolte exclusivement en avril, au moment précis où les premières pousses jaillissent. Cette cueillette printanière, comparable à un first flush du Fujian, confère à ce cru une richesse aromatique rare, fruit d’une jeunesse végétale qui concentre fraîcheur, finesse et énergie.

L’essence même de son nom renvoie directement au savoir-faire chinois. Panyong signifie “thé travaillé avec habileté”, un terme qui révèle déjà le soin nécessaire à sa fabrication. Ce type de thé appartient à la famille des thés “gongfu” (ou “congou”), un mot qui, en chinois, désigne un travail réalisé avec maîtrise, patience et précision, le même terme utilisé pour la cérémonie du thé.

Et ce n’est pas un hasard : chaque feuille de Panyong suit un processus rigoureux, fait de flétrissage, roulage, fermentation et séchage. Un enchaînement minutieux qui distingue les véritables Panyong des thés noirs plus ordinaires, produits avec moins d’attention.

Ce savoir-faire se double d’une approche respectueuse de la feuille. Là où certains thés noirs chinois subissent des torréfactions trop poussées, le Panyong Golden privilégie une voie douce. La fermentation contrôlée et le séchage traditionnel au charbon de bois préservent la délicatesse naturelle des jeunes bourgeons, permettant à leurs composés aromatiques de se déployer sans agressivité.

Et contrairement à de nombreux thés élaborés à partir d’un mélange de cultivars, le Panyong Golden est considéré comme un mono-cultivar. Cette rigueur artisanale, centrée sur un matériau végétal unique, révèle toute l’élégance originelle des jeunes pousses. La liqueur qui en résulte, moelleuse et veloutée, se distingue nettement des profils plus robustes ou boisés des Keemun et Yunnan.

Si ses racines sont chinoises, sa renommée mondiale doit beaucoup à l’Europe. Dès le milieu du XIXᵉ siècle, le Panyong Golden conquiert les marchés occidentaux, époque où ses exportations atteignent des sommets. À son apogée, il est servi à la cour royale britannique et plébiscité par de nombreux pays européens. Ce grand cru reste aujourd’hui encore une référence en Europe pour son raffinement, bien plus naturellement qu’en Chine, où les thés verts occupent traditionnellement la première place.

Son terroir contribue lui aussi à sa singularité. La proximité de la mer enveloppe les plantations de brumes salines, offre une humidité constante, tempère les chaleurs excessives et enrichit les sols. Ce climat marin, allié à l’altitude, favorise une maturation lente et une concentration aromatique exceptionnelle. Dans la tasse, cette harmonie se traduit par un équilibre rare, une richesse gustative qui signe l’identité du Panyong Golden.

La légende enfin ajoute sa touche de mystère… Les anciennes cueilleuses auraient réservé aux palais impériaux les récoltes printanières les plus précoces, symbole de renouveau et de perfection. Ainsi se serait forgée la réputation du Panyong : un nectar de l’élite, parfois associé dans les récits populaires à des cueillettes quasi mystiques où la nature et les hommes unissent leurs gestes pour préserver la noblesse du cru.

Accords mets et thés
Pour savourer toute la magie de ce grand thé, dégustez-le à température ambiante en accord avec un foie gras poêlé, accompagné d’une fine brunoise de poires caramélisées et d’une réduction de thé au miel. La rondeur du thé épouse la douceur du foie gras, tandis que les notes caramélisées et fruitées prolongent la gourmandise. Ce mariage harmonieux laisse la liqueur ambrée du Panyong se fondre dans une trame raffinée, créant un dialogue sensoriel entre puissance, délicatesse et longueur en bouche.

Recette à base de thé noir de Chine Panyong Golden
Pour créer une réduction délicate au Panyong, infusez à couvert une généreuse cuillerée de feuilles dans un peu d’eau frémissante, puis filtrez l’élixir ambré. Ajoutez un filet de miel d’acacia, éventuellement une pointe de vinaigre de cidre ou un trait de jus de pomme pour apporter de la fraicheur et de l’acidité, et laissez réduire à feu doux jusqu’à obtenir un sirop brillant, presque caramel. Cette réduction soyeuse vient alors napper votre foie gras juste poêlé, soulignant sa chaleur fondante par ses notes si caractéristiques.

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Couleur : Thé noir

Origine : Mont Taimu, province du Fujian, Sud-Est de la Chine, face à Taiwan.

Région : Le Mont Taimu se dresse face à la mer de Chine orientale, à proximité immédiate des côtes. Les jardins de thé sont situés à 1200 mètres d’altitude, à une quinzaine de kilomètres de l’océan, ce qui permet aux brises marines et aux brumes côtières d’imprégner les plantations et de contribuer à la douceur, à la texture moelleuse et à la complexité du thé. Cette proximité influence directement le caractère singulier du Panyong Golden, en lien étroit avec son terroir maritime.

Aspect des feuilles séchées : Longues feuilles d’un beau brun sombre, en forme d’aiguilles fines et torsadées illuminées par des bourgeons dorés et lumineux.

Infusion : La liqueur révèle une robe ambre foncée, lumineuse, traversée de reflets dorés.

Notes de dégustation : Au nez, l’infusion est veloutée et ample, au parfum intense de céréales maltées, rehaussé de nuances miellées et suaves. En bouche, la liqueur offre une belle richesse, ronde et prolongée, développant des accents de noisette, de cacao doux et une finale délicatement sucrée, laissant la bouche fraîche et enveloppée, sans astringence.

Moment de dégustation : Reconnu pour une teneur modérée en théine, le Panyong Golden est suffisamment tonique, sans être trop puissant, pour accompagner le matin ou les débuts de journée, ce qui permet de le savourer également l’après-midi.

Thé d’exception cultivé en altitude, le Panyong Golden se récolte exclusivement en avril, au moment précis où les premières pousses jaillissent. Cette cueillette printanière, comparable à un first flush du Fujian, confère à ce cru une richesse aromatique rare, fruit d’une jeunesse végétale qui concentre fraîcheur, finesse et énergie.

L’essence même de son nom renvoie directement au savoir-faire chinois. Panyong signifie “thé travaillé avec habileté”, un terme qui révèle déjà le soin nécessaire à sa fabrication. Ce type de thé appartient à la famille des thés “gongfu” (ou “congou”), un mot qui, en chinois, désigne un travail réalisé avec maîtrise, patience et précision, le même terme utilisé pour la cérémonie du thé.

Et ce n’est pas un hasard : chaque feuille de Panyong suit un processus rigoureux, fait de flétrissage, roulage, fermentation et séchage. Un enchaînement minutieux qui distingue les véritables Panyong des thés noirs plus ordinaires, produits avec moins d’attention.

Ce savoir-faire se double d’une approche respectueuse de la feuille. Là où certains thés noirs chinois subissent des torréfactions trop poussées, le Panyong Golden privilégie une voie douce. La fermentation contrôlée et le séchage traditionnel au charbon de bois préservent la délicatesse naturelle des jeunes bourgeons, permettant à leurs composés aromatiques de se déployer sans agressivité.

Et contrairement à de nombreux thés élaborés à partir d’un mélange de cultivars, le Panyong Golden est considéré comme un mono-cultivar. Cette rigueur artisanale, centrée sur un matériau végétal unique, révèle toute l’élégance originelle des jeunes pousses. La liqueur qui en résulte, moelleuse et veloutée, se distingue nettement des profils plus robustes ou boisés des Keemun et Yunnan.

Si ses racines sont chinoises, sa renommée mondiale doit beaucoup à l’Europe. Dès le milieu du XIXᵉ siècle, le Panyong Golden conquiert les marchés occidentaux, époque où ses exportations atteignent des sommets. À son apogée, il est servi à la cour royale britannique et plébiscité par de nombreux pays européens. Ce grand cru reste aujourd’hui encore une référence en Europe pour son raffinement, bien plus naturellement qu’en Chine, où les thés verts occupent traditionnellement la première place.

Son terroir contribue lui aussi à sa singularité. La proximité de la mer enveloppe les plantations de brumes salines, offre une humidité constante, tempère les chaleurs excessives et enrichit les sols. Ce climat marin, allié à l’altitude, favorise une maturation lente et une concentration aromatique exceptionnelle. Dans la tasse, cette harmonie se traduit par un équilibre rare, une richesse gustative qui signe l’identité du Panyong Golden.

La légende enfin ajoute sa touche de mystère… Les anciennes cueilleuses auraient réservé aux palais impériaux les récoltes printanières les plus précoces, symbole de renouveau et de perfection. Ainsi se serait forgée la réputation du Panyong : un nectar de l’élite, parfois associé dans les récits populaires à des cueillettes quasi mystiques où la nature et les hommes unissent leurs gestes pour préserver la noblesse du cru.

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Le supplément d’âme Betjeman & Barton

Un magnifique thé emblématique du Fujian, reconnaissable par ses belles aiguilles sombres et ses notes généreuses et maltées.