
Thé vert chinois Chun Mee bio
Thé Chine bio aux notes sucrées de prune

Thé vert chinois Chun Mee bio
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Couleur : Thé vert
Origine : Shengzhou, province du Zhejiang, Chine occidentale.
Région : la province du Zhejiang est l’un des terroirs historiques et réputés pour la production du Chun Mee. Les jardins de Shengzhou, situés à faible altitude et parcourus de rivières, s’étendent sur des milliers d’hectares, avec de nombreuses coopératives et domaines familiaux. Le climat humide et les sols limoneux de ce bassin offrent des conditions idéales à la culture biologique, permettant à la feuille torsadée du Chun Mee de développer sa douceur végétale et sa fraîcheur persistante.
Aspect des feuilles séchées : Petites feuilles finement roulées et légèrement torsadées, d'un vert jade à vert argenté brillant, évoquant la forme délicate d'un sourcil.
Infusion : Liqueur claire, jaune pâle à jaune doré, parfois tirant sur l'ambré, limpide et brillante.
Notes de dégustation : Au nez, un bouquet végétal et fleuri, délicat, avec des touches de foin doux et de fruits d'automne. En bouche, l'attaque est franche et légère, révélant une fraîcheur acidulée caractéristique. Le Chun Mee développe des saveurs à la fois douces et moelleuses, accompagnées de notes fruitées rappelant la prune mûre, parfois rehaussées d'une délicate touche de noisette ou de miel. Une légère astringence apporte de la structure, tandis qu'une pointe d'amertume subtile signe l'authenticité du thé vert chinois. La finale est claire et rafraîchissante, laissant en bouche une sensation de pureté et de vitalité.
Moment de dégustation : Thé léger et polyvalent, idéal à tout moment de la journée : matinée tonique, après-midi détendue, ou même soirée grâce à sa teneur modérée en théine. Parfait en fin de repas pour ses vertus digestives et antioxydantes.
Au sud de Shanghai, la province du Zhejiang déroule ses paysages comme une estampe : collines émeraude noyées de brumes, vallées de bambous, rizières en terrasses et lacs ourlés de lotus. C’est là, bercé par les vents venus de la mer de Chine orientale, qu’est né l’un des plus gracieux thés verts de Chine : le Chun Mee, littéralement « sourcils précieux ».
Ce nom poétique trouve son origine dans la forme des feuilles : finement roulées, légèrement arquées, elles rappellent les sourcils délicatement dessinés des beautés de la cour impériale. Sous les dynasties Ming et Qing, ces courbes étaient symbole d’élégance et de perfection. En baptisant ce thé « Chun Mee », les artisans rendaient hommage à cet idéal de beauté naturelle et maîtrisée, reflet du lien intime entre l’art du geste et l’esthétique du monde.
Sa culture est une véritable odyssée humaine et agricole au cœur du Zhejiang. Tout commence à l’aube, parmi des collines embrumées, où chaque pousse est cueillie selon un rituel transmis depuis la dynastie Tang. Ce qui rend la culture du Chun Mee extraordinaire, c’est la symbiose entre terroir, artisanat et nature. Les champs sont plantés sur des pentes douces, baignées par la mousson, où le sol limoneux enrichi par les brises marines (la mer se trouve à 70 km des jardins de thé) à et l’humidité créent une alchimie parfaite.
Dans certains villages, la récolte reste une occasion festive et collective : familles et voisins se rassemblent au printemps, perpétuant l’esprit coopératif des grandes heures du thé chinois. À chaque étape, la main de l’humain prime : après la cueillette sélective des deux premières feuilles et du bourgeon, les feuilles sont aussitôt flétries puis brassées dans des woks chauffés au bois, bravant la moiteur, afin de préserver toute leur fraîcheur.
L’une des scènes les plus emblématiques consiste à voir une équipe de femmes rouler sans relâche les feuilles sur des plateaux en bambou, jusqu’à obtenir cette torsion caractéristique, fine et régulière. Ce travail d’orfèvre s’apparente à l’assemblage d’un bijou naturel : trop d’agitation et la feuille casse, trop peu et elle ne s’arrondit pas. Cette torsion n’a rien d’un simple geste répétitif : pour un maître artisan, chaque lot est unique, car la température ambiante, l’humidité et même la pression atmosphérique dictent le rythme du roulage.
La magie du Chun Mee, c’est aussi la diversité des saveurs issues de ce procédé lent : la feuille développe une palette végétale, parfois florale ou fruitée, mêlant douceur, minéralité et une note acidulée, presque vive, qui persiste au palais. La tradition locale veut que l’on prépare ce thé avec de l’eau fraîche des rivières de montagne, pour révéler ses teintes jaune pâle et ses arômes purs. Certains maîtres infuseurs affirment que l’eau du matin, plus “vivante” selon eux, sublime la première tasse, ce qui renforce la légende de l’âme du terroir infusée dans chaque bol.
Au-delà du geste et du goût, la culture du Chun Mee est donc une invitation à l’attention, à la patience, et à l’observation du vivant ; une expérience sensorielle et humaine, à la croisée de l’histoire, du climat et de la main de l’homme.
Accords mets et thés
Pour un accord vibrant, testez le Chun Mee bio en accompagnement d’un ceviche de daurade, relevé d’une touche d’exotisme (perles de grenade et de fruits de la passion). Son acidité délicate caresse la « cuisson » du citron vert et s’enflamme au contact du piment. Ses notes fruitées de prune juteuse viennent adoucir cette effervescence tropicale, tandis que sa fraîcheur végétale effleure le palais comme une vague limpide. Entre douceur soyeuse et piquant solaire, cet accord sensuel fait danser les continents : l’Asie et l’Amérique du Sud se rencontrent dans un baiser d’agrumes, d’embruns et de lumière.
Recette à base de thé vert de Chun Mee Bio
Imaginez un panier de bambou tapissé de feuilles de Chun Mee bio, où le bar de ligne se révèle lentement, enveloppé de brumes vert jade... Disposez les filets sur ce lit de feuilles précieuses, parsemés de bâtons de citronnelle et de lamelles de gingembre frais… une architecture végétale qui promet l'exotisme. Versez sur le panier une infusion concentrée du Chun Mee (15 g/litre, 75°C), la vapeur devient alcove parfumée, infusant le poisson de notes acidulées et fruitées, presque florales. Couvrez pendant 12-15 minutes et laissez la magie vaporeuse agir.
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Couleur : Thé vert
Origine : Shengzhou, province du Zhejiang, Chine occidentale.
Région : la province du Zhejiang est l’un des terroirs historiques et réputés pour la production du Chun Mee. Les jardins de Shengzhou, situés à faible altitude et parcourus de rivières, s’étendent sur des milliers d’hectares, avec de nombreuses coopératives et domaines familiaux. Le climat humide et les sols limoneux de ce bassin offrent des conditions idéales à la culture biologique, permettant à la feuille torsadée du Chun Mee de développer sa douceur végétale et sa fraîcheur persistante.
Aspect des feuilles séchées : Petites feuilles finement roulées et légèrement torsadées, d'un vert jade à vert argenté brillant, évoquant la forme délicate d'un sourcil.
Infusion : Liqueur claire, jaune pâle à jaune doré, parfois tirant sur l'ambré, limpide et brillante.
Notes de dégustation : Au nez, un bouquet végétal et fleuri, délicat, avec des touches de foin doux et de fruits d'automne. En bouche, l'attaque est franche et légère, révélant une fraîcheur acidulée caractéristique. Le Chun Mee développe des saveurs à la fois douces et moelleuses, accompagnées de notes fruitées rappelant la prune mûre, parfois rehaussées d'une délicate touche de noisette ou de miel. Une légère astringence apporte de la structure, tandis qu'une pointe d'amertume subtile signe l'authenticité du thé vert chinois. La finale est claire et rafraîchissante, laissant en bouche une sensation de pureté et de vitalité.
Moment de dégustation : Thé léger et polyvalent, idéal à tout moment de la journée : matinée tonique, après-midi détendue, ou même soirée grâce à sa teneur modérée en théine. Parfait en fin de repas pour ses vertus digestives et antioxydantes.
Au sud de Shanghai, la province du Zhejiang déroule ses paysages comme une estampe : collines émeraude noyées de brumes, vallées de bambous, rizières en terrasses et lacs ourlés de lotus. C’est là, bercé par les vents venus de la mer de Chine orientale, qu’est né l’un des plus gracieux thés verts de Chine : le Chun Mee, littéralement « sourcils précieux ».
Ce nom poétique trouve son origine dans la forme des feuilles : finement roulées, légèrement arquées, elles rappellent les sourcils délicatement dessinés des beautés de la cour impériale. Sous les dynasties Ming et Qing, ces courbes étaient symbole d’élégance et de perfection. En baptisant ce thé « Chun Mee », les artisans rendaient hommage à cet idéal de beauté naturelle et maîtrisée, reflet du lien intime entre l’art du geste et l’esthétique du monde.
Sa culture est une véritable odyssée humaine et agricole au cœur du Zhejiang. Tout commence à l’aube, parmi des collines embrumées, où chaque pousse est cueillie selon un rituel transmis depuis la dynastie Tang. Ce qui rend la culture du Chun Mee extraordinaire, c’est la symbiose entre terroir, artisanat et nature. Les champs sont plantés sur des pentes douces, baignées par la mousson, où le sol limoneux enrichi par les brises marines (la mer se trouve à 70 km des jardins de thé) à et l’humidité créent une alchimie parfaite.
Dans certains villages, la récolte reste une occasion festive et collective : familles et voisins se rassemblent au printemps, perpétuant l’esprit coopératif des grandes heures du thé chinois. À chaque étape, la main de l’humain prime : après la cueillette sélective des deux premières feuilles et du bourgeon, les feuilles sont aussitôt flétries puis brassées dans des woks chauffés au bois, bravant la moiteur, afin de préserver toute leur fraîcheur.
L’une des scènes les plus emblématiques consiste à voir une équipe de femmes rouler sans relâche les feuilles sur des plateaux en bambou, jusqu’à obtenir cette torsion caractéristique, fine et régulière. Ce travail d’orfèvre s’apparente à l’assemblage d’un bijou naturel : trop d’agitation et la feuille casse, trop peu et elle ne s’arrondit pas. Cette torsion n’a rien d’un simple geste répétitif : pour un maître artisan, chaque lot est unique, car la température ambiante, l’humidité et même la pression atmosphérique dictent le rythme du roulage.
La magie du Chun Mee, c’est aussi la diversité des saveurs issues de ce procédé lent : la feuille développe une palette végétale, parfois florale ou fruitée, mêlant douceur, minéralité et une note acidulée, presque vive, qui persiste au palais. La tradition locale veut que l’on prépare ce thé avec de l’eau fraîche des rivières de montagne, pour révéler ses teintes jaune pâle et ses arômes purs. Certains maîtres infuseurs affirment que l’eau du matin, plus “vivante” selon eux, sublime la première tasse, ce qui renforce la légende de l’âme du terroir infusée dans chaque bol.
Au-delà du geste et du goût, la culture du Chun Mee est donc une invitation à l’attention, à la patience, et à l’observation du vivant ; une expérience sensorielle et humaine, à la croisée de l’histoire, du climat et de la main de l’homme.
10500
Le supplément d’âme Betjeman & Barton
Un classique universel du thé vert, réputé pour sa douceur et sa forme évocatrice : un voyage dans les
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