
Thé noir chinois Pu-Er Golden
Thé Chine, grand cru de Pu-Er, complexe

Thé noir chinois Pu-Er Golden
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Couleur : Thé sombre cuit millésimé (Pu-Er)
Origine : Région de Menghai, Province du Yunnan, Chine.
Région : Le Pu-Erh Golden 2011 provient de Menghai, dans la préfecture du Xishuangbanna, berceau historique et contemporain du Pu-Er. Menghai abrite les plus vastes concentrations de théiers ancestraux dans un rayon de 100 000 hectares, intégrés naturellement à l'écosystème forestier subtropical. Le jardin Man Xin Long, situé sur les pentes de la montagne Bulang à une altitude de 1600 à 1800 mètres, cultive depuis des siècles la variété Menghai à grandes feuilles, dont est issu notre Pu-Er Golden. Cette zone bénéficie d'un climat subtropical de mousson, de précipitations généreuses, de brumes fréquentes et d'une richesse minérale du sol exceptionnelle. Les bourgeons dorés, cueillis au printemps sur des arbres de plus de 300 ans, garantissent une matière première d'une finesse et d'une tendreté rares.
Aspect des feuilles séchées : Bourgeons matures d'un brun doré aux reflets roux et cuivrés, parsemés de fins duvets argentés.
Infusion : Liqueur brun sombre aux reflets acajou brillants, robe profonde et lumineuse rappelant un café bien corsé.
Notes de dégustation : Au nez, une douceur sucrée s'impose d'emblée, portée par des notes de canne à sucre, de miel ambré et de riz cuit. En arrière-plan, des touches boisées de cèdre et de santal se mêlent à des nuances de fruits secs grillés. En bouche, l'attaque est ronde, veloutée et enveloppante, d'une texture presque huileuse. Le millésime 2011 offre une liqueur généreuse et profondément apaisée, exempte d'amertume. Les arômes de bois vieilli, de fruits secs et de réglisse douce structurent l'ensemble avec une élégance minérale subtile. L'arrière-goût est long, persistant et profondément méditatif, évoquant la mousse forestière et le cuir patiné.
Méthode de dégustation : Pour honorer ce grand cru millésimé dans les règles de l'art, privilégiez la méthode Gong Fu Cha avec une théière en argile, idéalement dédiée exclusivement aux Pu-Er. Dosez 3 à 4 grammes de feuilles pour 150 ml d’eau à 95 °C. Réalisez plusieurs infusions courtes de 15 à 20 secondes chacune. Le couvercle de la théière ou du Gaiwan permet de contrôler précisément la température et d'observer l'évolution de la liqueur. Servez dans de petites tasses pour que la chaleur enveloppante tapisse généreusement le palais. Un Pu-Er Golden millésimé peut révéler toute sa complexité sur six à sept infusions successives, chacune dévoilant de nouvelles strates aromatiques.
Moment de dégustation : Idéal pour l'après-midi ou le soir, lorsque l'esprit recherche l'apaisement. Sa faible teneur en théine et son absence totale d'amertume en font un compagnon quotidien, particulièrement recommandé après les repas pour favoriser la digestion.
Contempler les bourgeons dorés du Golden 2011, c’est déjà voyager avant même d’infuser le thé. Leurs reflets cuivrés, presque solaires, racontent à eux seuls la vitalité des théiers tricentenaires et la patience des cueilleuses du printemps. Leur éclat chaud évoque la beauté des grands Dian Hong du Yunnan, ces thés prestigieux dont les feuilles, couvertes d’un duvet d’or, semblent tissées de lumière. Leur finesse, leur luminosité rare donnent à ce Pu-Er une dimension presque méditative : un thé que l’on admire autant qu’on le prépare…
Et pour comprendre pleinement ce que ces bourgeons représentent, il faut se replonger dans le langage même du thé, où les mots voyagent autant que les feuilles. Ce que l’Occident appelle “thé noir” correspond en réalité, pour les Chinois, aux “thés rouges” (hóngchá), nommés ainsi pour la couleur ambrée de leur liqueur. À l’inverse, les véritables “thés noirs” en Chine sont les thés fermentés, comme le Pu-Er, dont la feuille est réellement sombre et le processus unique. Pour éviter cette confusion, certains sinologues et maisons de thé traduisent désormais hóngchá par “thés roux”, une appellation plus fidèle à l’usage chinois. Ainsi, en quelques mots, trois nomenclatures différentes racontent deux réalités : les thés oxydés d’un côté, les thés fermentés de l’autre, chacun avec son histoire, sa géographie et sa vérité culturelle.
C’est dans ce contexte que le Pu-Er Golden 2011 s’impose non seulement comme un grand thé, mais comme un véritable événement. Il naît d’une rare conjonction de terroir, de geste et de temps. Dans sa liqueur profonde, c’est tout un pan de nature et de savoir-faire qui se concentre, jusqu’à devenir une expérience presque initiatique.
Là où les Pu-Er traditionnels mêlent feuilles entières et tiges, le Golden 2011 n’est composé que de bourgeons. Une sélection si exigeante qu’elle ne représente pas plus de 2 % de toute la production de Pu-Er du Yunnan. Ces pointes, cueillies au printemps, concentrent une richesse chimique singulière : moins de tanins bruts, donc aucune amertume, mais une abondance d’acides aminés complexes (théanine, glutamate) qui confèrent cette texture de velours et cet umami somptueux, la marque des thés d’exception.
Cette récolte elle-même est un moment sacré. Les bourgeons dorés qui façonnent le Golden 2011 sont prélevés au tout premier souffle du printemps, entre la fin mars et les premiers jours d’avril, autour de la fête de Qingming. Dans les villages du Yunnan, cette période est vécue comme une renaissance : on “ouvre la montagne”, on remercie les anciens théiers, on partage un repas communautaire. Chaque bourgeon porte alors la promesse d’une nouvelle saison, un trésor de lumière né dans la fraîcheur du printemps.
Vient ensuite le temps de la transformation, et c’est là que s’opère une autre forme de miracle. Contrairement au Pu-Er cru (Sheng), qui vieillit naturellement pendant des décennies grâce à une fermentation lente et imperceptible, le Pu-Er cuit (Shou) tel que le Golden 2011 subit une fermentation accélérée et maîtrisée appelée wo dui. Les bourgeons sont entassés, maintenus à 25–30 °C, humidifiés à 60–70 %, puis retournés régulièrement pendant deux à trois mois. Durant ce processus, les micro-organismes naturels transforment rapidement les polyphénols en mélanines brunes et en composés complexes, reproduisant en quelques mois ce que le cru mettrait vingt à trente ans à accomplir. Il en résulte une liqueur ronde, douce, déjà prête à être savourée, mais encore capable de s’affiner lentement au fil des années… jusqu’à vingt ans et plus encore.
Accords mets et thés
Osez l’expérience sensorielle ultime : associer le Pu-Er Golden 2011 à un plateau de fromages triés sur le volet. Commencez par un Brie de Melun. Sa pâte tendre, sa croûte fleurie et ses arômes champêtre fondent sur la palette boisée et terreuse du cru, prolongeant en bouche une douceur de mousse forestière. Enchaînez avec un Brillat-Savarin truffé : le mariage entre la crème et la truffe trouve écho dans la rondeur veloutée du thé, l’umami invitant une volupté inédite, presque langoureuse. Enfin, laissez un Comté 36 mois révéler ses cristaux de saveur, ses nuances de noix et de fruits secs, magnifiés par la profondeur du Pu-Er. Ce trio somptueux crée une harmonie où la richesse du lait dialogue avec les strates méditatives du thé, pour une dégustation inoubliable.
Recette à base de thé sombre Pu-Er Golden
A l’automne, laissez le Pu-Er Golden 2011 sublimer un filet de chevreuil rôti, nappé d’un jus réduit au thé, auquel vous ajoutez myrtilles ou airelles et quelques grains de poivre sauvage. Sa liqueur sombre et veloutée épouse à merveille la chair dense et le caractère sauvage du gibier, atténuant la puissance sans la masquer. Les notes boisées du thé prennent une ampleur nouvelle face aux arômes de sous-bois de la viande, créant un dialogue profond entre le végétal et l’animal, digne des plus belles tables gastronomiques.
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Couleur : Thé sombre cuit millésimé (Pu-Er)
Origine : Région de Menghai, Province du Yunnan, Chine.
Région : Le Pu-Erh Golden 2011 provient de Menghai, dans la préfecture du Xishuangbanna, berceau historique et contemporain du Pu-Er. Menghai abrite les plus vastes concentrations de théiers ancestraux dans un rayon de 100 000 hectares, intégrés naturellement à l'écosystème forestier subtropical. Le jardin Man Xin Long, situé sur les pentes de la montagne Bulang à une altitude de 1600 à 1800 mètres, cultive depuis des siècles la variété Menghai à grandes feuilles, dont est issu notre Pu-Er Golden. Cette zone bénéficie d'un climat subtropical de mousson, de précipitations généreuses, de brumes fréquentes et d'une richesse minérale du sol exceptionnelle. Les bourgeons dorés, cueillis au printemps sur des arbres de plus de 300 ans, garantissent une matière première d'une finesse et d'une tendreté rares.
Aspect des feuilles séchées : Bourgeons matures d'un brun doré aux reflets roux et cuivrés, parsemés de fins duvets argentés.
Infusion : Liqueur brun sombre aux reflets acajou brillants, robe profonde et lumineuse rappelant un café bien corsé.
Notes de dégustation : Au nez, une douceur sucrée s'impose d'emblée, portée par des notes de canne à sucre, de miel ambré et de riz cuit. En arrière-plan, des touches boisées de cèdre et de santal se mêlent à des nuances de fruits secs grillés. En bouche, l'attaque est ronde, veloutée et enveloppante, d'une texture presque huileuse. Le millésime 2011 offre une liqueur généreuse et profondément apaisée, exempte d'amertume. Les arômes de bois vieilli, de fruits secs et de réglisse douce structurent l'ensemble avec une élégance minérale subtile. L'arrière-goût est long, persistant et profondément méditatif, évoquant la mousse forestière et le cuir patiné.
Méthode de dégustation : Pour honorer ce grand cru millésimé dans les règles de l'art, privilégiez la méthode Gong Fu Cha avec une théière en argile, idéalement dédiée exclusivement aux Pu-Er. Dosez 3 à 4 grammes de feuilles pour 150 ml d’eau à 95 °C. Réalisez plusieurs infusions courtes de 15 à 20 secondes chacune. Le couvercle de la théière ou du Gaiwan permet de contrôler précisément la température et d'observer l'évolution de la liqueur. Servez dans de petites tasses pour que la chaleur enveloppante tapisse généreusement le palais. Un Pu-Er Golden millésimé peut révéler toute sa complexité sur six à sept infusions successives, chacune dévoilant de nouvelles strates aromatiques.
Moment de dégustation : Idéal pour l'après-midi ou le soir, lorsque l'esprit recherche l'apaisement. Sa faible teneur en théine et son absence totale d'amertume en font un compagnon quotidien, particulièrement recommandé après les repas pour favoriser la digestion.
Contempler les bourgeons dorés du Golden 2011, c’est déjà voyager avant même d’infuser le thé. Leurs reflets cuivrés, presque solaires, racontent à eux seuls la vitalité des théiers tricentenaires et la patience des cueilleuses du printemps. Leur éclat chaud évoque la beauté des grands Dian Hong du Yunnan, ces thés prestigieux dont les feuilles, couvertes d’un duvet d’or, semblent tissées de lumière. Leur finesse, leur luminosité rare donnent à ce Pu-Er une dimension presque méditative : un thé que l’on admire autant qu’on le prépare…
Et pour comprendre pleinement ce que ces bourgeons représentent, il faut se replonger dans le langage même du thé, où les mots voyagent autant que les feuilles. Ce que l’Occident appelle “thé noir” correspond en réalité, pour les Chinois, aux “thés rouges” (hóngchá), nommés ainsi pour la couleur ambrée de leur liqueur. À l’inverse, les véritables “thés noirs” en Chine sont les thés fermentés, comme le Pu-Er, dont la feuille est réellement sombre et le processus unique. Pour éviter cette confusion, certains sinologues et maisons de thé traduisent désormais hóngchá par “thés roux”, une appellation plus fidèle à l’usage chinois. Ainsi, en quelques mots, trois nomenclatures différentes racontent deux réalités : les thés oxydés d’un côté, les thés fermentés de l’autre, chacun avec son histoire, sa géographie et sa vérité culturelle.
C’est dans ce contexte que le Pu-Er Golden 2011 s’impose non seulement comme un grand thé, mais comme un véritable événement. Il naît d’une rare conjonction de terroir, de geste et de temps. Dans sa liqueur profonde, c’est tout un pan de nature et de savoir-faire qui se concentre, jusqu’à devenir une expérience presque initiatique.
Là où les Pu-Er traditionnels mêlent feuilles entières et tiges, le Golden 2011 n’est composé que de bourgeons. Une sélection si exigeante qu’elle ne représente pas plus de 2 % de toute la production de Pu-Er du Yunnan. Ces pointes, cueillies au printemps, concentrent une richesse chimique singulière : moins de tanins bruts, donc aucune amertume, mais une abondance d’acides aminés complexes (théanine, glutamate) qui confèrent cette texture de velours et cet umami somptueux, la marque des thés d’exception.
Cette récolte elle-même est un moment sacré. Les bourgeons dorés qui façonnent le Golden 2011 sont prélevés au tout premier souffle du printemps, entre la fin mars et les premiers jours d’avril, autour de la fête de Qingming. Dans les villages du Yunnan, cette période est vécue comme une renaissance : on “ouvre la montagne”, on remercie les anciens théiers, on partage un repas communautaire. Chaque bourgeon porte alors la promesse d’une nouvelle saison, un trésor de lumière né dans la fraîcheur du printemps.
Vient ensuite le temps de la transformation, et c’est là que s’opère une autre forme de miracle. Contrairement au Pu-Er cru (Sheng), qui vieillit naturellement pendant des décennies grâce à une fermentation lente et imperceptible, le Pu-Er cuit (Shou) tel que le Golden 2011 subit une fermentation accélérée et maîtrisée appelée wo dui. Les bourgeons sont entassés, maintenus à 25–30 °C, humidifiés à 60–70 %, puis retournés régulièrement pendant deux à trois mois. Durant ce processus, les micro-organismes naturels transforment rapidement les polyphénols en mélanines brunes et en composés complexes, reproduisant en quelques mois ce que le cru mettrait vingt à trente ans à accomplir. Il en résulte une liqueur ronde, douce, déjà prête à être savourée, mais encore capable de s’affiner lentement au fil des années… jusqu’à vingt ans et plus encore.
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