
Thé noir Hanami
Thé noir parfumé aux fleurs exotiques, jasmin, tulipe et vanille

Thé noir Hanami
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Type de thé
Décliné sur une base de thé noir de Chine d’une grande douceur, Hanami déroule une partition florale ample, généreuse, envoûtante. Ce sont d’abord les fleurs qui s’invitent au palais : la fleur de tiaré, solaire, exotique, presque voluptueuse, ouvre la danse avec ses effluves suaves et enveloppants. Elle est rejointe par le jasmin, pur et élégant. Ces deux fleurs composent la tête de l’infusion, comme un bouquet éclatant posé sous un ciel de printemps.
Notes présentes dans le thé noir Hanami
Hanami est une promenade olfactive et gustative dans un jardin secret. La fleur de tiaré, originaire du Pacifique, évoque l’abondance d’un matin d’été, entre chaleur enveloppante et sensualité tropicale. Le jasmin, cueilli au crépuscule pour conserver sa fraîcheur, apporte une clarté lumineuse, presque sacrée. La vanille, elle, prolonge les fleurs dans une ronde soyeuse, rappelant la douceur des étoffes fines glissant sur la peau. Enfin, le cherimoya, ce fruit d’Amérique du Sud au goût lacté et doucement musqué, agit comme un souffle fruité, presque pastel, tandis que l’héliotrope ferme la marche, avec sa profondeur veloutée, presque irisée, comme un soupir au creux du soir.
Dégustation du thé noir Hanami
En bouche, Hanami déploie une texture ample, caressante, où les notes florales ouvrent avec éclat avant de se fondre dans une trame plus onctueuse. L’attaque est suave, dominée par le tiaré et le jasmin, rapidement adoucie par la vanille et le fruit. Le cherimoya apporte une dimension gourmande, presque crémeuse, qui évoque les desserts japonais aux fruits blancs. Le thé noir, discret et élégant, agit comme un fil conducteur : il soutient, structure, sans jamais dominer, laissant aux arômes le soin de raconter leur histoire.
Le meilleur moment pour déguster
Hanami s’apprécie idéalement dans les heures douces de la journée, le matin pour une ouverture sensorielle délicate, ou l’après-midi pour une parenthèse feutrée. Il accompagne les moments où l’on ralentit, où l’on respire profondément. Servi chaud, il réconforte ; infusé à froid, il devient un baume floral, presque nacré, qui évoque un matin clair ou un crépuscule d’avril.
- Fleurs de tiaré, héliotrope, jasmin, tulipe, vanille, cherimoya
Un thé comme une floraison éphémère
Lorsque nous baptisons un nouveau thé, il y a toujours ce désir d’ouvrir une brèche vers l’imaginaire, une invitation au voyage dès les premières syllabes. Avec Hanami, c’est à Tokyo que nous vous emmenons, au cœur du parc d’Ueno, lorsque les premiers cerisiers s’ouvrent début avril comme une promesse de renaissance.
Sous les Cerisiers – Une Saison en Suspension
Hanami, littéralement “regarder les fleurs”, est bien plus qu’un simple rite saisonnier au Japon. C’est un art de vivre tourné vers l’éphémère, un instant suspendu où la nature, dans sa plus grande délicatesse, se donne à voir, et à ressentir. Pendant quelques jours, le pays tout entier ralentit, comme tenu en haleine par cette explosion de rose pâle et de blanc neige, fragile et triomphante à la fois. Les parcs se parent de promeneurs, d’éventails colorés, de nappes soigneusement déroulées sur l’herbe encore fraîche. C’est une célébration du moment présent, de la beauté dans ce qu’elle a de plus fugace.
Notre thé Hanami est né de cette atmosphère, et d’un vécu personnel. Notre aromaticienne a vécu plusieurs années au Japon. Pour elle, la saison d’Hanami ne se limitait pas à une floraison spectaculaire : elle était synonyme de douceur flottante, d’attente fébrile, de mélancolie heureuse. C’était le parfum du tiaré qu’elle retrouvait sur les écharpes de soie, le jasmin dans les bains chauds d’auberge, la vanille et le cherimoya dans les douceurs partagées lors des pique-niques du soir. Les fleurs, les fruits, l'air tiède et le temps qui passe plus lentement, tous ces éléments sont devenus les piliers de la composition qu'elle a imaginée pour Hanami.
Accords thés et mets
On savoure aisément Hanami accompagné d’un mochi parfumé, d’un financier au matcha, d’un gâteau de riz à la rose, ou d’un sablé à la fleur d’oranger. Le thé noir Hanami se prête aussi à l’infusion glacée, pour un hanami d’été, un moment suspendu sous les branches, les pieds nus sur la terre chaude.
Recettes et cocktails à base de thé
Infusé à froid avec quelques lamelles de poire et des fleurs fraîches, Hanami devient un thé glacé floral et fruité, à la fois élégant et évocateur. En cocktail, il se marie à merveille avec un trait de liqueur de fleur, un soupçon de jus de raisin blanc, ou une infusion de saké doux. Ajoutez quelques glaçons taillés, un pétale cristallisé ou un soupçon de miel de printemps pour en faire un apéritif poétique, tout en nuances, aussi gracieux qu’un pétale emporté par le vent.
20078
Type de thé
Décliné sur une base de thé noir de Chine d’une grande douceur, Hanami déroule une partition florale ample, généreuse, envoûtante. Ce sont d’abord les fleurs qui s’invitent au palais : la fleur de tiaré, solaire, exotique, presque voluptueuse, ouvre la danse avec ses effluves suaves et enveloppants. Elle est rejointe par le jasmin, pur et élégant. Ces deux fleurs composent la tête de l’infusion, comme un bouquet éclatant posé sous un ciel de printemps.
Notes présentes dans le thé noir Hanami
Hanami est une promenade olfactive et gustative dans un jardin secret. La fleur de tiaré, originaire du Pacifique, évoque l’abondance d’un matin d’été, entre chaleur enveloppante et sensualité tropicale. Le jasmin, cueilli au crépuscule pour conserver sa fraîcheur, apporte une clarté lumineuse, presque sacrée. La vanille, elle, prolonge les fleurs dans une ronde soyeuse, rappelant la douceur des étoffes fines glissant sur la peau. Enfin, le cherimoya, ce fruit d’Amérique du Sud au goût lacté et doucement musqué, agit comme un souffle fruité, presque pastel, tandis que l’héliotrope ferme la marche, avec sa profondeur veloutée, presque irisée, comme un soupir au creux du soir.
Dégustation du thé noir Hanami
En bouche, Hanami déploie une texture ample, caressante, où les notes florales ouvrent avec éclat avant de se fondre dans une trame plus onctueuse. L’attaque est suave, dominée par le tiaré et le jasmin, rapidement adoucie par la vanille et le fruit. Le cherimoya apporte une dimension gourmande, presque crémeuse, qui évoque les desserts japonais aux fruits blancs. Le thé noir, discret et élégant, agit comme un fil conducteur : il soutient, structure, sans jamais dominer, laissant aux arômes le soin de raconter leur histoire.
Le meilleur moment pour déguster
Hanami s’apprécie idéalement dans les heures douces de la journée, le matin pour une ouverture sensorielle délicate, ou l’après-midi pour une parenthèse feutrée. Il accompagne les moments où l’on ralentit, où l’on respire profondément. Servi chaud, il réconforte ; infusé à froid, il devient un baume floral, presque nacré, qui évoque un matin clair ou un crépuscule d’avril.
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