
Thé oolong Formose Vert Jade
Thé Formose au goût subtil

Thé oolong Formose Vert Jade
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Couleur : Thé Wulong
Origine : Nantou, Taïwan, anciennement Taïwan.
Région : Le Formose Vert Jade provient de la région de Nantou, au centre de Taïwan, berceau historique des grands oolongs taïwanais. Issu du cultivar moderne Cui Yu, il est cultivé dans les collines qui entourent Lugu, l’une des zones les plus réputées du pays pour la culture du thé. Les jardins s’étendent entre 300 et 600 mètres d’altitude, au cœur d’un terroir façonné par une humidité généreuse, des sols volcaniques bien drainés et la douceur subtropicale de Taïwan. Cette combinaison unique confère au thé sa clarté aromatique, sa fraîcheur florale et cette légèreté caractéristique des oolongs de Nantou.
Aspect des feuilles séchées : Feuilles entières de taille moyenne, travaillées en roulés serrés et compacts, d'une teinte vert jade irisée, presque translucide sur les bords. La palette chromatique est délicate : vert profond avec des reflets d'émeraude pâle, parsemée de légers points dorés qui témoignent du léger travail d'oxydation.
Infusion : La liqueur est cristalline, d'un ambre pâle aux reflets dorés-verts.
Notes de dégustation : Au nez, le Formose Vert Jade déploie un bouquet délicat et fleuri : muguet, pivoine, léger toucher d'amande fraîche, avec une pointe de miel blanc et de germe de blé. L'ensemble respire une légèreté délicieuse, presque printanière. En bouche, l'attaque est souple et soyeuse, cristalline sans agressivité. La texture fluide révèle progressivement des saveurs nuancées : fleur de miel, léger biscuit frais, une onctuosité légère qui évoque le beurre demi-sel, une touche de fruit blanc (pêche, poire) en arrière-palais. La finale demeure aérienne, jamais astringente, avec un retour floral persistant et une sensation de fraîcheur qui perdure plusieurs secondes.
Moment de dégustation : Très léger en théine, ce Formose Vert Jade se déguste toute la journée.
Méthode de dégustation : Le caractère léger et subtilement oxydé de ce Wulong en fait un compagnon idéal du Gong Fu Cha, où l’art des multiples infusions révèle sa véritable profondeur. Dans un gaiwan ou une petite théière (5 g pour 100 à 120 ml à 85°C), un bref rinçage ouvre la voie à une série de passages de 15 à 20 secondes : les premiers dévoilent des notes de pivoine et de muguet, les suivants s’arrondissent en beurre frais et miel blanc, tandis que les derniers s’étirent vers une minéralité délicatement fruitée. En infusion occidentale (4 g pour 30 cl, 3 à 4 minutes à 85°C), le thé offre une tasse ample et immédiatement aérienne, où dominent les fleurs douces et une fine évocation crémée de fruits.
Dans les collines brumeuses de Nantou, on raconte qu’un thé naquit du souffle d’une déesse. Une nuit de printemps, alors qu’un théier solitaire peinait à trouver son parfum, la Déesse de Jade, protectrice des montagnes et des sources, se serait inclinée vers lui. Touchée par sa ténacité, elle lui offrit une lumière verte si pure qu’elle se glissa au cœur même de ses feuilles. Au matin, les cultivateurs découvrirent un théier métamorphosé, dont les jeunes pousses brillaient comme du jade poli. Ainsi, murmure encore la légende, serait né ce thé clair qui apaise davantage qu’il ne stimule, comme si une part de sérénité céleste avait glissé dans sa sève.
L’histoire officielle raconte pourtant une tout autre naissance : celle du cultivar Cui Yu, « Jade Vert », mis au point en 1981 par l’Institut de recherche taïwanais. L’île cherchait alors à créer un thé expressif, stable, parfumé, capable d’offrir une identité propre aux jardins du centre de Taïwan. Et pourtant, malgré son origine scientifique, ce thé porte bel et bien quelque chose de mythique : une fraîcheur florale, une douceur limpide, une lumière aromatique qui justifient pleinement les récits poétiques que les habitants lui prêtent.
Si le Vert Jade Dung Ti occupe aujourd’hui une place centrale dans l’imaginaire taïwanais, c’est parce qu’il s’inscrit dans une histoire plus vaste : celle de la culture du thé à Taïwan elle-même. Introduits au XVIIIᵉ siècle par des migrants du Fujian, les premiers théiers furent acclimatés dans les montagnes du centre et du nord de l’île, où ils trouvèrent des conditions remarquablement favorables. Au fil des générations, Taïwan développa une véritable école du oolong, fondée sur la précision artisanale, une compréhension intime du climat subtropical et une capacité unique à transformer des feuilles en véritables compositions florales.
Dans les années 1970–1990, la recherche taïwanaise donna naissance à une nouvelle génération de cultivars (Cui Yu, Jin Xuan, Si Ji Chun) qui allaient révolutionner le style local. Grâce à cette alliance de tradition et d’innovation, Taïwan excelle autant dans les oolongs faiblement oxydés, lumineux et végétaux, que dans les oolongs torréfiés de style Dong Ding, plus profonds et chaleureux. L’île produit même quelques thés noirs d’une finesse singulière, dont la douceur miellée est devenue emblématique. Taïwan n’a peut-être pas l’ancienneté des théiers du Yunnan, mais elle possède quelque chose d’aussi précieux : une maîtrise artisanale exceptionnelle, une culture du détail, un sens de l’équilibre aromatique devenu sa marque de fabrique.
Le Formose Vert Jade est l’une des expressions les plus douces de cette tradition. Ses feuilles, récoltées plus matures que celles des thés verts d’altitude, présentent naturellement une faible teneur en théine, ce qui en fait un thé particulièrement agréable à déguster en après-midi ou en soirée. Cette douceur physiologique provient à la fois de la maturité des feuilles ouvertes, de l’oxydation légère qui arrondit les polyphénols, et de la sélection variétale qui privilégie la netteté aromatique plutôt que la puissance stimulante. Le résultat est un thé qui veille sur le calme intérieur, sans brusquer l’esprit.
La transformation du Vert Jade est un ballet de gestes minutieux : un flétrissage léger, quelques brassages destinés à éveiller les arômes, une fixation brève pour préserver l’énergie verte, puis une dessiccation douce qui enferme la fraîcheur au cœur des petites perles roulées. À l’infusion, ces perles se déploient lentement, libérant des notes de fleurs blanches, de muguet, de pois sucré, parfois une touche lactée selon la saison. La liqueur, claire et lumineuse, rappelle l’éclat d’une eau glissant sur une pierre de jade. À Taïwan, on offre souvent le Formose Vert Jade comme premier oolong à découvrir, tant il incarne l’accueil et la douceur. En Occident, il séduit les amateurs de thés verts en quête de rondeur, ceux qui préfèrent les parfums nets mais apaisants, ceux qui cherchent un thé qui accompagne sans envahir.
Accord mets et thés
Imaginez des pâtes fraîches relevées d’herbes printanières : persil, estragon, menthe douce. Servez à leurs côtés un Formose Vert Jade infusé à 40°, et l’accord s’ouvre comme une évidence. Les notes de muguet du thé répondent aux parfums cristallins des herbes, tandis que sa douceur crémeuse enveloppe la fraîcheur végétale des pâtes. Sa persistance florale exalte la délicatesse du plat et prolonge chaque bouchée en une symphonie de nuances minérales et parfumées. Un accord où ni le thé ni les pâtes ne s’imposent, mais où chacun révèle la grâce cachée de l’autre.
Recette à base de thé Formose Vert Jade Dung Ti
Préparez une infusion à froid de Formose Vert Jade, puis ajoutez-y le jus d’un citron fraîchement pressé, quelques zestes et un léger trait d’huile d’olive première pression. Cette émulsion lumineuse devient l’écrin aromatique d’un beau filet de poisson noble. Déposez un pavé de turbot encore chaud sur ce lit d’infusion: la chaleur réveille les parfums du thé, la minéralité du citron les équilibre, tandis que la fraîcheur florale du Vert Jade enveloppe la chair d’une grâce cristalline. À chaque bouchée, une alchimie subtile se révèle : le thé offre ses nuances sans jamais dominer, le citron éclaire, l’huile unit l’ensemble dans une belle harmonie.
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Couleur : Thé Wulong
Origine : Nantou, Taïwan, anciennement Taïwan.
Région : Le Formose Vert Jade provient de la région de Nantou, au centre de Taïwan, berceau historique des grands oolongs taïwanais. Issu du cultivar moderne Cui Yu, il est cultivé dans les collines qui entourent Lugu, l’une des zones les plus réputées du pays pour la culture du thé. Les jardins s’étendent entre 300 et 600 mètres d’altitude, au cœur d’un terroir façonné par une humidité généreuse, des sols volcaniques bien drainés et la douceur subtropicale de Taïwan. Cette combinaison unique confère au thé sa clarté aromatique, sa fraîcheur florale et cette légèreté caractéristique des oolongs de Nantou.
Aspect des feuilles séchées : Feuilles entières de taille moyenne, travaillées en roulés serrés et compacts, d'une teinte vert jade irisée, presque translucide sur les bords. La palette chromatique est délicate : vert profond avec des reflets d'émeraude pâle, parsemée de légers points dorés qui témoignent du léger travail d'oxydation.
Infusion : La liqueur est cristalline, d'un ambre pâle aux reflets dorés-verts.
Notes de dégustation : Au nez, le Formose Vert Jade déploie un bouquet délicat et fleuri : muguet, pivoine, léger toucher d'amande fraîche, avec une pointe de miel blanc et de germe de blé. L'ensemble respire une légèreté délicieuse, presque printanière. En bouche, l'attaque est souple et soyeuse, cristalline sans agressivité. La texture fluide révèle progressivement des saveurs nuancées : fleur de miel, léger biscuit frais, une onctuosité légère qui évoque le beurre demi-sel, une touche de fruit blanc (pêche, poire) en arrière-palais. La finale demeure aérienne, jamais astringente, avec un retour floral persistant et une sensation de fraîcheur qui perdure plusieurs secondes.
Moment de dégustation : Très léger en théine, ce Formose Vert Jade se déguste toute la journée.
Méthode de dégustation : Le caractère léger et subtilement oxydé de ce Wulong en fait un compagnon idéal du Gong Fu Cha, où l’art des multiples infusions révèle sa véritable profondeur. Dans un gaiwan ou une petite théière (5 g pour 100 à 120 ml à 85°C), un bref rinçage ouvre la voie à une série de passages de 15 à 20 secondes : les premiers dévoilent des notes de pivoine et de muguet, les suivants s’arrondissent en beurre frais et miel blanc, tandis que les derniers s’étirent vers une minéralité délicatement fruitée. En infusion occidentale (4 g pour 30 cl, 3 à 4 minutes à 85°C), le thé offre une tasse ample et immédiatement aérienne, où dominent les fleurs douces et une fine évocation crémée de fruits.
Dans les collines brumeuses de Nantou, on raconte qu’un thé naquit du souffle d’une déesse. Une nuit de printemps, alors qu’un théier solitaire peinait à trouver son parfum, la Déesse de Jade, protectrice des montagnes et des sources, se serait inclinée vers lui. Touchée par sa ténacité, elle lui offrit une lumière verte si pure qu’elle se glissa au cœur même de ses feuilles. Au matin, les cultivateurs découvrirent un théier métamorphosé, dont les jeunes pousses brillaient comme du jade poli. Ainsi, murmure encore la légende, serait né ce thé clair qui apaise davantage qu’il ne stimule, comme si une part de sérénité céleste avait glissé dans sa sève.
L’histoire officielle raconte pourtant une tout autre naissance : celle du cultivar Cui Yu, « Jade Vert », mis au point en 1981 par l’Institut de recherche taïwanais. L’île cherchait alors à créer un thé expressif, stable, parfumé, capable d’offrir une identité propre aux jardins du centre de Taïwan. Et pourtant, malgré son origine scientifique, ce thé porte bel et bien quelque chose de mythique : une fraîcheur florale, une douceur limpide, une lumière aromatique qui justifient pleinement les récits poétiques que les habitants lui prêtent.
Si le Vert Jade Dung Ti occupe aujourd’hui une place centrale dans l’imaginaire taïwanais, c’est parce qu’il s’inscrit dans une histoire plus vaste : celle de la culture du thé à Taïwan elle-même. Introduits au XVIIIᵉ siècle par des migrants du Fujian, les premiers théiers furent acclimatés dans les montagnes du centre et du nord de l’île, où ils trouvèrent des conditions remarquablement favorables. Au fil des générations, Taïwan développa une véritable école du oolong, fondée sur la précision artisanale, une compréhension intime du climat subtropical et une capacité unique à transformer des feuilles en véritables compositions florales.
Dans les années 1970–1990, la recherche taïwanaise donna naissance à une nouvelle génération de cultivars (Cui Yu, Jin Xuan, Si Ji Chun) qui allaient révolutionner le style local. Grâce à cette alliance de tradition et d’innovation, Taïwan excelle autant dans les oolongs faiblement oxydés, lumineux et végétaux, que dans les oolongs torréfiés de style Dong Ding, plus profonds et chaleureux. L’île produit même quelques thés noirs d’une finesse singulière, dont la douceur miellée est devenue emblématique. Taïwan n’a peut-être pas l’ancienneté des théiers du Yunnan, mais elle possède quelque chose d’aussi précieux : une maîtrise artisanale exceptionnelle, une culture du détail, un sens de l’équilibre aromatique devenu sa marque de fabrique.
Le Formose Vert Jade est l’une des expressions les plus douces de cette tradition. Ses feuilles, récoltées plus matures que celles des thés verts d’altitude, présentent naturellement une faible teneur en théine, ce qui en fait un thé particulièrement agréable à déguster en après-midi ou en soirée. Cette douceur physiologique provient à la fois de la maturité des feuilles ouvertes, de l’oxydation légère qui arrondit les polyphénols, et de la sélection variétale qui privilégie la netteté aromatique plutôt que la puissance stimulante. Le résultat est un thé qui veille sur le calme intérieur, sans brusquer l’esprit.
La transformation du Vert Jade est un ballet de gestes minutieux : un flétrissage léger, quelques brassages destinés à éveiller les arômes, une fixation brève pour préserver l’énergie verte, puis une dessiccation douce qui enferme la fraîcheur au cœur des petites perles roulées. À l’infusion, ces perles se déploient lentement, libérant des notes de fleurs blanches, de muguet, de pois sucré, parfois une touche lactée selon la saison. La liqueur, claire et lumineuse, rappelle l’éclat d’une eau glissant sur une pierre de jade. À Taïwan, on offre souvent le Formose Vert Jade comme premier oolong à découvrir, tant il incarne l’accueil et la douceur. En Occident, il séduit les amateurs de thés verts en quête de rondeur, ceux qui préfèrent les parfums nets mais apaisants, ceux qui cherchent un thé qui accompagne sans envahir.
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