Thé vert chinois Lung Ching

Thé Chine aux notes végétales et fraiches

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Thé vert chinois Lung Ching - Thés

Thé vert chinois Lung Ching

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Moment de dégustation :
Moment de dégustation : Matin
Temps d'infusion :
Temps d'infusion : 2-3 min
Température de l'eau :
Température de l'eau : 80°C

Couleur : Thé vert

Origine :   Village de Longjing, à proximité du lac de l’Ouest à Hangzhou, province du Zhejiang au Sud-Ouest de de la Chine.

Région : Au cœur des collines brumeuses entourant le Lac de l'Ouest à Hangzhou s'étendent les jardins légendaires du Lung Ching. Nichée entre 200 et 800 mètres d'altitude, cette région bénéficie d'un climat subtropical humide avec des pluies abondantes et une température moyenne annuelle douce. Les brumes matinales enveloppent les théiers d'une humidité constante, tandis que la lumière diffuse filtre à travers les arbres environnants. Le sol acide, riche en azote et en matière organique, combiné à un excellent drainage naturel, offre aux théiers de la variété Camellia sinensis var. sinensis (à petites feuilles) un environnement idéal. Les théiers poussent en terrasses harmonieuses, entourés de forêts luxuriantes, de sources cristallines et d'un paysage d'une beauté poétique.

Aspect des feuilles séchées : Feuilles plates et lisses, en forme de langue de moineau ou d'épée, de couleur vert tendre à vert-jaune jade, uniformes et soigneusement façonnées à la main selon la méthode traditionnelle de torréfaction au wok.

Infusion :  Liqueur jaune doré clair à vert pâle, limpide et lumineuse, évoquant le jade liquide.

Notes de dégustation :  Au nez, un bouquet délicat et apaisant, évoquant la châtaigne grillée, les noisettes, les fleurs printanières et des notes végétales fraîches (asperge ou artichaut). En bouche, l'attaque est douce, moelleuse et d'une élégance remarquable, révélant une texture veloutée presque crémeuse. Le Lung Ching développe des saveurs prononcées de châtaigne et de noisette grillées, une douceur sucrée naturelle évoquant le miel, des touches végétales rafraîchissantes, et une légère minéralité. Une astringence discrète structure la bouche sans jamais dominer, tandis que l'absence d'amertume signe la qualité exceptionnelle de cette cueillette printanière. La finale est longue, fraîche et apaisante, laissant en bouche une sensation de pureté, de douceur persistante et d'équilibre parfait.

Moment de dégustation : Thé vert raffiné et apaisant, idéal le matin ou l'après-midi pour sa fraîcheur vivifiante et son élégance contemplative.

Méthode de dégustation : La dégustation du Lung Ching peut se réaliser à l’occidentale, dans une théière classique ou bien alors au Gong Fu Cha, rituel de précision et de lenteur. On utilise alors un gaiwan (bol à couvercle) ou une petite théière en porcelaine, remplie d’une belle quantité de thé (environ 10 grammes pour 20 cl). L’eau à 80 °C est versée délicatement pour ne pas brûler les feuilles. Les infusions sont courtes et successives : une dizaine de secondes pour la première, puis un peu plus à chaque passage. Ce rythme permet d’observer l’évolution du thé, ses arômes de châtaigne grillée et de fleur d’orchidée, sa texture soyeuse, sa longueur végétale.

Au cœur du Zhejiang, sur les rives verdoyantes du lac de l’Ouest à Hangzhou, s’étend le berceau légendaire du Lung Ching, littéralement « Puits du Dragon ». Ce thé vert millénaire, symbole d’harmonie et de pureté, incarne l’âme raffinée du Sud de la Chine.

Son nom provient d’une ancienne légende : un dragon protecteur aurait élu demeure dans un puits du village, exauçant les prières des habitants en temps de sécheresse. Autour de ce puits sacré, les moines du temple Hu Gong commencèrent à cultiver du thé pour leurs rituels. La renommée du breuvage se répandit si bien que les pèlerins lui donnèrent le nom du lieu, Longjing (ou Lung Ching).

Mentionné très tôt dans le « Classique du thé » de Lu Yu, le Lung Ching s’éleva peu à peu au rang d’art, à une époque où la culture du thé devenait le miroir de la vie spirituelle et lettrée. Les poètes et les moines bouddhistes de Hangzhou voyaient dans son infusion pâle et limpide l’image de la sérénité, de la contemplation et du Tao (Axe Central).

Mais le Lung Ching n’est pas qu’un souvenir impérial : il reste un pilier vivant de la culture chinoise. Les familles, certaines actives depuis trois siècles, perpétuent la torréfaction manuelle au wok, geste précis qui confère à la feuille sa forme plate et sa saveur caractéristique. Aujourd’hui, le Lung Ching authentique est protégé par une indication géographique et demeure l’un des « Dix Thés Célèbres de Chine ».
Son utilisation moderne prolonge cette tradition de calme et de clarté d’esprit. Dans les maisons, les restaurants, les bureaux et les campus de Hangzhou, il accompagne chaque moment de la journée. Il est réputé pour sa douceur végétale, son effet désaltérant et surtout pour ses vertus apaisantes sur l’esprit, raison pour laquelle on le surnomme aujourd’hui le « thé des étudiants ». Ce surnom vient du fait que le Lung Ching est souvent consommé dans les universités du Zhejiang : son faible taux de théine et sa capacité à stimuler la concentration sans nervosité en font le compagnon idéal des longues heures d’étude et de révision.

Ainsi, d’un breuvage impérial bu dans les temples et les palais, le Lung Ching est devenu un symbole de la Chine moderne : un thé du quotidien, simple et noble à la fois, bu autant pour le plaisir que pour la sérénité qu’il inspire. Chaque tasse semble encore contenir un peu de ce souffle du dragon ancien, celui qui apaise les esprits et unit les générations autour d’un geste millénaire : celui d’infuser le calme.

Accords mets et thés
Entremet de haut vol, l’Opéra, tout en finesse et en contrastes… avec ses strates délicates de biscuit aux amandes, crème infusée au café et ganache au chocolat... À ses côtés, le Lung Ching révèle toute sa grâce : ses notes de châtaigne grillée et de fleurs printanières allègent la richesse du dessert, tandis que sa douce astringence équilibre le velouté du chocolat. L’accord se fait alors murmure raffiné entre Orient et pâtisserie française, union de légèreté et d’intensité.

Recette à base de thé vert Lung Ching
Pour une parenthèse de fraîcheur, réalisez une nage de fruits au Lung Ching : infusez les feuilles dans une eau frémissante à 75 °C, puis laissez refroidir. Versez ce bouillon (refroidi) vert et limpide sur un mélange de pêches blanches, poires, raisin muscat et litchis. Le thé dévoile alors ses accents chauds et de fleur d’orchidée, qui subliment la douceur juteuse des fruits. Servez très frais, avec quelques zestes de citron vert ou une larme de miel d’acacia : une infusion devenue dessert, délicate et poétique.

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Couleur : Thé vert

Origine :   Village de Longjing, à proximité du lac de l’Ouest à Hangzhou, province du Zhejiang au Sud-Ouest de de la Chine.

Région : Au cœur des collines brumeuses entourant le Lac de l'Ouest à Hangzhou s'étendent les jardins légendaires du Lung Ching. Nichée entre 200 et 800 mètres d'altitude, cette région bénéficie d'un climat subtropical humide avec des pluies abondantes et une température moyenne annuelle douce. Les brumes matinales enveloppent les théiers d'une humidité constante, tandis que la lumière diffuse filtre à travers les arbres environnants. Le sol acide, riche en azote et en matière organique, combiné à un excellent drainage naturel, offre aux théiers de la variété Camellia sinensis var. sinensis (à petites feuilles) un environnement idéal. Les théiers poussent en terrasses harmonieuses, entourés de forêts luxuriantes, de sources cristallines et d'un paysage d'une beauté poétique.

Aspect des feuilles séchées : Feuilles plates et lisses, en forme de langue de moineau ou d'épée, de couleur vert tendre à vert-jaune jade, uniformes et soigneusement façonnées à la main selon la méthode traditionnelle de torréfaction au wok.

Infusion :  Liqueur jaune doré clair à vert pâle, limpide et lumineuse, évoquant le jade liquide.

Notes de dégustation :  Au nez, un bouquet délicat et apaisant, évoquant la châtaigne grillée, les noisettes, les fleurs printanières et des notes végétales fraîches (asperge ou artichaut). En bouche, l'attaque est douce, moelleuse et d'une élégance remarquable, révélant une texture veloutée presque crémeuse. Le Lung Ching développe des saveurs prononcées de châtaigne et de noisette grillées, une douceur sucrée naturelle évoquant le miel, des touches végétales rafraîchissantes, et une légère minéralité. Une astringence discrète structure la bouche sans jamais dominer, tandis que l'absence d'amertume signe la qualité exceptionnelle de cette cueillette printanière. La finale est longue, fraîche et apaisante, laissant en bouche une sensation de pureté, de douceur persistante et d'équilibre parfait.

Moment de dégustation : Thé vert raffiné et apaisant, idéal le matin ou l'après-midi pour sa fraîcheur vivifiante et son élégance contemplative.

Méthode de dégustation : La dégustation du Lung Ching peut se réaliser à l’occidentale, dans une théière classique ou bien alors au Gong Fu Cha, rituel de précision et de lenteur. On utilise alors un gaiwan (bol à couvercle) ou une petite théière en porcelaine, remplie d’une belle quantité de thé (environ 10 grammes pour 20 cl). L’eau à 80 °C est versée délicatement pour ne pas brûler les feuilles. Les infusions sont courtes et successives : une dizaine de secondes pour la première, puis un peu plus à chaque passage. Ce rythme permet d’observer l’évolution du thé, ses arômes de châtaigne grillée et de fleur d’orchidée, sa texture soyeuse, sa longueur végétale.

Au cœur du Zhejiang, sur les rives verdoyantes du lac de l’Ouest à Hangzhou, s’étend le berceau légendaire du Lung Ching, littéralement « Puits du Dragon ». Ce thé vert millénaire, symbole d’harmonie et de pureté, incarne l’âme raffinée du Sud de la Chine.

Son nom provient d’une ancienne légende : un dragon protecteur aurait élu demeure dans un puits du village, exauçant les prières des habitants en temps de sécheresse. Autour de ce puits sacré, les moines du temple Hu Gong commencèrent à cultiver du thé pour leurs rituels. La renommée du breuvage se répandit si bien que les pèlerins lui donnèrent le nom du lieu, Longjing (ou Lung Ching).

Mentionné très tôt dans le « Classique du thé » de Lu Yu, le Lung Ching s’éleva peu à peu au rang d’art, à une époque où la culture du thé devenait le miroir de la vie spirituelle et lettrée. Les poètes et les moines bouddhistes de Hangzhou voyaient dans son infusion pâle et limpide l’image de la sérénité, de la contemplation et du Tao (Axe Central).

Mais le Lung Ching n’est pas qu’un souvenir impérial : il reste un pilier vivant de la culture chinoise. Les familles, certaines actives depuis trois siècles, perpétuent la torréfaction manuelle au wok, geste précis qui confère à la feuille sa forme plate et sa saveur caractéristique. Aujourd’hui, le Lung Ching authentique est protégé par une indication géographique et demeure l’un des « Dix Thés Célèbres de Chine ».
Son utilisation moderne prolonge cette tradition de calme et de clarté d’esprit. Dans les maisons, les restaurants, les bureaux et les campus de Hangzhou, il accompagne chaque moment de la journée. Il est réputé pour sa douceur végétale, son effet désaltérant et surtout pour ses vertus apaisantes sur l’esprit, raison pour laquelle on le surnomme aujourd’hui le « thé des étudiants ». Ce surnom vient du fait que le Lung Ching est souvent consommé dans les universités du Zhejiang : son faible taux de théine et sa capacité à stimuler la concentration sans nervosité en font le compagnon idéal des longues heures d’étude et de révision.

Ainsi, d’un breuvage impérial bu dans les temples et les palais, le Lung Ching est devenu un symbole de la Chine moderne : un thé du quotidien, simple et noble à la fois, bu autant pour le plaisir que pour la sérénité qu’il inspire. Chaque tasse semble encore contenir un peu de ce souffle du dragon ancien, celui qui apaise les esprits et unit les générations autour d’un geste millénaire : celui d’infuser le calme.

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Le supplément d’âme Betjeman & Barton

Un thé impérial qui infuse dans chaque tasse la poésie du Zhejiang et l’âme millénaire du thé en Chine.