Thé vert japonais Minami Kyushu 1st flush 2025

Thé Japon très frais

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Thé vert japonais Sencha Natural Leaf - Thés

Thé vert japonais Minami Kyushu 1st flush 2025

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Moment de dégustation :
Moment de dégustation : Matin et Après déjeuner
Temps d'infusion :
Temps d'infusion : 2-3 min
Température de l'eau :
Température de l'eau : 75°C

Couleur : thé vert

Origine, région, province : Le Shincha Minami Kyushu est cultivé dans la partie méridionale de l’île de Kyushu ( Minami signifie « sud » en japonais). L’île japonaise la plus au sud, plus précisément dans la préfecture de Kagoshima, autour des localités de Chiran, Ei et Kawanabe, qui bénéficient d’un terroir volcanique et d’un climat maritime doux propice à la première récolte printanière.

Cultivar/variété : Yukatamidori, littéralement « vert abondant » en japonais, très prisé dans le sud du Japon pour sa productivité et la richesse végétale de ses feuilles.

Aspect des feuilles séchées : Les feuilles, d’un vert jade profond, séduisent par leur éclat lustré. Elles sont façonnées en aiguilles soyeuses, élancées, traduisant la fraîcheur, souplesse et finesse des jeunes pousses printanières.

Infusion : L’infusion présente une teinte jaune limpide, lumineuse et subtilement nuancée de vert jade.

Notes de dégustation : Au nez, ce Shincha dévoile une attaque végétale marquée, avec des accents de feuilles fraîches, de brume minérale et une nuance iodée. L’attaque en bouche offre une liqueur délicate, très umami, prolongeant une texture souple et cristalline. Des notes de légumes verts cuits, comme la courgette vapeur ou le petit pois fondant s’expriment en milieu de bouche, soutenues par une finale longue, légèrement saline, révélant la maîtrise de l’artisanat et la typicité du terroir volcanique.

Comment de déguster : Pour révéler la fraîcheur et l’umami du Shincha Minami Kyushu, privilégiez une dégustation à la japonaise : utilisez 4 gr de thé dans une petite théière (kyūsu) et réalisez des infusions courtes, entre 40 secondes et 1 minute à 70 °C pour la première, puis seulement 10 à 30 secondes pour les suivantes. Cette méthode valorise la texture, la douceur végétale et le côté printanier du Shincha, en multipliant les nuances au fil des infusions. La dégustation dans une théière classique occidentale avec un plus grand volume d’eau offre quant à elle simplicité de service, mais arrondit les parfums.

Imaginez la première lumière du printemps touchant les flancs fertiles de Kyushu, là où la terre est nourrie par les cendres du Sakurajima. C’est ici que naît le shincha, thé d’aventure et de tradition, dont la récolte débute, selon la coutume ancestrale, au 88e jour après le premier jour du printemps. Cette date marque le point optimal pour cueillir les jeunes pousses, réputées concentrer tout l’éclat, l’énergie et la magie de la nouvelle saison.

Autour du volcan, les anciens murmurent que l’umami du shincha n’est pas qu’affaire de terroir : il vient aussi d’un pacte ancestral entre l’homme, la terre et les esprits. On dit que les récoltes sous les nuages de cendres gagnent en douceur et profondeur, comme si la montagne offrait chaque année, à qui ose cueillir tôt, un goût unique, vibrant de force et de vitalité.

Au Japon, la sortie du shincha, c’est un peu comme l’arrivée d’un trésor : producteurs, connaisseurs et familles s’y préparent des mois à l’avance, sachant que les premières feuilles, encore gorgées d’énergie d’hiver, porteront santé et bonheur pour l’année à venir. Dans les villages de Minami-Kyushu, on perpétue la coutume de savourer ce thé en famille ou entre amis, comme un signe de renouveau et d’espérance.

Pour obtenir ce cru mythique, les producteurs scrutent la météo, guettent le moment parfait où la sève est la plus concentrée, cueillent et manufacturent sans attendre, en une journée. Les feuilles passent de la main au panier, puis de la vapeur à la table, sans perdre une once de fraîcheur. L’expérience de dégustation, alors, célèbre la patience, la ténacité et le respect pour la nature volcanique du Japon.

Ce qui distingue le millésime 2025, c’est sa vivacité extrême, sa souplesse lumineuse et son rare équilibre. Cette année, la nature a offert peu de feuilles, mais une émotion intacte : goûter ce shincha, c’est humer à la fois le parfum de la terre noire, la promesse du printemps et l’héritage d’un territoire guidé par les cycles du volcan et la tradition du 88e jour.

Accords mets et thés
Plongez dans une harmonie japonaise : sashimi de daurade royale, tranchée très fin, effleurée de yuzu et de sel marin, servie avec notre Shincha. Ici, la fraîcheur végétale du thé caresse la chair du poisson, révèle une douceur printanière et rafraichit le palais à chaque bouchée. La vitalité du terroir, la clarté de l’umami et l’éclat d’agrume s’entrelacent pour une dégustation sublimant chaque saveur dans une étreinte pure et vibrante.

Recette à base de thé vert du Japon Shincha Minami Kuyshu Bio 1st Fush 2025

Préparez des noix de Saint-Jacques juste snackées puis disposez-les en éventail. Réalisez une émulsion délicate en montant au mixeur un thé Shincha concentré, un peu de bouillon clarifié type dashi et une noisette de beurre. Disposez cette émulsion autour des Saint-Jacques avec une brunoise de courgette vapeur, quelques zestes de yuzu et une pointe de fleur de sel. Terminez par des grains de poivre Timut : la fraîcheur et les notes iodées du shincha exalteront la douceur du mollusque et l'ensemble du plat.

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Couleur : thé vert

Origine, région, province : Le Shincha Minami Kyushu est cultivé dans la partie méridionale de l’île de Kyushu ( Minami signifie « sud » en japonais). L’île japonaise la plus au sud, plus précisément dans la préfecture de Kagoshima, autour des localités de Chiran, Ei et Kawanabe, qui bénéficient d’un terroir volcanique et d’un climat maritime doux propice à la première récolte printanière.

Cultivar/variété : Yukatamidori, littéralement « vert abondant » en japonais, très prisé dans le sud du Japon pour sa productivité et la richesse végétale de ses feuilles.

Aspect des feuilles séchées : Les feuilles, d’un vert jade profond, séduisent par leur éclat lustré. Elles sont façonnées en aiguilles soyeuses, élancées, traduisant la fraîcheur, souplesse et finesse des jeunes pousses printanières.

Infusion : L’infusion présente une teinte jaune limpide, lumineuse et subtilement nuancée de vert jade.

Notes de dégustation : Au nez, ce Shincha dévoile une attaque végétale marquée, avec des accents de feuilles fraîches, de brume minérale et une nuance iodée. L’attaque en bouche offre une liqueur délicate, très umami, prolongeant une texture souple et cristalline. Des notes de légumes verts cuits, comme la courgette vapeur ou le petit pois fondant s’expriment en milieu de bouche, soutenues par une finale longue, légèrement saline, révélant la maîtrise de l’artisanat et la typicité du terroir volcanique.

Comment de déguster : Pour révéler la fraîcheur et l’umami du Shincha Minami Kyushu, privilégiez une dégustation à la japonaise : utilisez 4 gr de thé dans une petite théière (kyūsu) et réalisez des infusions courtes, entre 40 secondes et 1 minute à 70 °C pour la première, puis seulement 10 à 30 secondes pour les suivantes. Cette méthode valorise la texture, la douceur végétale et le côté printanier du Shincha, en multipliant les nuances au fil des infusions. La dégustation dans une théière classique occidentale avec un plus grand volume d’eau offre quant à elle simplicité de service, mais arrondit les parfums.

Imaginez la première lumière du printemps touchant les flancs fertiles de Kyushu, là où la terre est nourrie par les cendres du Sakurajima. C’est ici que naît le shincha, thé d’aventure et de tradition, dont la récolte débute, selon la coutume ancestrale, au 88e jour après le premier jour du printemps. Cette date marque le point optimal pour cueillir les jeunes pousses, réputées concentrer tout l’éclat, l’énergie et la magie de la nouvelle saison.

Autour du volcan, les anciens murmurent que l’umami du shincha n’est pas qu’affaire de terroir : il vient aussi d’un pacte ancestral entre l’homme, la terre et les esprits. On dit que les récoltes sous les nuages de cendres gagnent en douceur et profondeur, comme si la montagne offrait chaque année, à qui ose cueillir tôt, un goût unique, vibrant de force et de vitalité.

Au Japon, la sortie du shincha, c’est un peu comme l’arrivée d’un trésor : producteurs, connaisseurs et familles s’y préparent des mois à l’avance, sachant que les premières feuilles, encore gorgées d’énergie d’hiver, porteront santé et bonheur pour l’année à venir. Dans les villages de Minami-Kyushu, on perpétue la coutume de savourer ce thé en famille ou entre amis, comme un signe de renouveau et d’espérance.

Pour obtenir ce cru mythique, les producteurs scrutent la météo, guettent le moment parfait où la sève est la plus concentrée, cueillent et manufacturent sans attendre, en une journée. Les feuilles passent de la main au panier, puis de la vapeur à la table, sans perdre une once de fraîcheur. L’expérience de dégustation, alors, célèbre la patience, la ténacité et le respect pour la nature volcanique du Japon.

Ce qui distingue le millésime 2025, c’est sa vivacité extrême, sa souplesse lumineuse et son rare équilibre. Cette année, la nature a offert peu de feuilles, mais une émotion intacte : goûter ce shincha, c’est humer à la fois le parfum de la terre noire, la promesse du printemps et l’héritage d’un territoire guidé par les cycles du volcan et la tradition du 88e jour.

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Le supplément d’âme Betjeman & Barton

Un cru exceptionnel par sa rareté, sa puissance et sa fraicheur. Incontournable pour les amateurs de
grands thés verts japonais de printemps.