
Thé blanc chinois Tai-Mu
Thé Chine léger et délicat

Thé blanc chinois Tai-Mu
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Couleur : Thé blanc
Origine : Mont Taimu, district de Fuding, province du Fujian, Sud-Est de la Chine.
Région : Le Mont Taimu, surnommé « le pays des merveilles au bord de la mer », s'élève majestueusement face à l'océan, avec ses pics escarpés enveloppés de brumes perpétuelles. À une altitude moyenne de 600 mètres, ses jardins de thé bénéficient d'un microclimat unique où l'air marin se mêle aux brises montagnardes. Cette alchimie entre terre, mer et ciel (roches granitiques, sols acides et nébulosité constante) façonne un terroir d'exception, reconnu comme le berceau originel du thé blanc chinois.
Aspect des feuilles séchées : Bourgeons duveteux d'un blanc argenté lumineux, recouverts d'un fin duvet protecteur appelé hao. Les feuilles présentent une élégance naturelle, à la fois délicates et charnues, témoignant d'une cueillette impériale réservée aux premières pousses du printemps.
Infusion : La liqueur dévoile une robe d'un jaune pâle cristallin, presque translucide, aux reflets dorés subtils.
Notes de dégustation : Au nez, le Tai Mu révèle un bouquet délicat de rose et de pivoine blanche, posé sur un fond d'herbe sèche et de foin fraîchement coupé. En bouche, la liqueur offre une texture soyeuse et aérienne, développant des nuances de pomme verte, une pointe d'umami et une finale douce légèrement vanillée. L'ensemble évoque une fraîcheur printanière d'une pureté remarquable.
Moment de dégustation : Grâce à sa teneur modérée en théine, le Tai Mu se savoure à tout moment de la journée, du réveil jusqu'au crépuscule.
Méthode de dégustation : Pour révéler la finesse du Tai Mu, privilégiez une infusion douce à 70 °C pendant 7 à 8 minutes. Une théière en porcelaine lui offre une expression limpide, mais il peut aussi être dégusté au gaiwan, ces petites tasses couvertes où l’on infuse, dévoile puis verse le thé en inclinant le couvercle pour retenir les feuilles. Cette méthode, précise et sensorielle, permet surtout de réaliser plusieurs infusions successives, chacune révélant une facette nouvelle de ses notes florales, de sa texture soyeuse et de sa délicate longueur.
Au sommet du Mont Taimu, là où les nuages effleurent la cime des théiers, s'écrit depuis des millénaires l'histoire du thé blanc. Ce massif sacré du Fujian, mentionné dès le 8e siècle dans le « Classique du Thé » de Lu Yu, est considéré comme la Montagne du Thé Blanc originelle.
La légende enracine plus profondément encore cette origine dans le temps mythique. Sous le règne de l'empereur Yao, il y a près de quatre mille ans, une femme nommée Langu vivait sur les pentes du Mont Taimu. Herboriste et guérisseuse, elle cultivait un théier aux bourgeons argentés qu'elle appelait « Bourgeon de Neige Verte ». Lorsqu'une épidémie de rougeole frappa la région, décimant les enfants des villages environnants, Langu cueillit les précieuses feuilles de son théier et enseigna aux familles comment les préparer en infusion. Miraculeusement, les enfants guérirent. En reconnaissance de ce bienfait, les habitants la vénérèrent comme une divinité, lui donnant le titre de « Taimu Niangniang », l'Impératrice du Mont Taimu.
A la toute fin du 18e siècle, le thé blanc moderne prit véritablement forme. Un marchand de thé nommé Chen Huan, originaire du village de Bailiu, découvrit sur les flancs du Mont Taimu un théier sauvage aux bourgeons exceptionnellement charnus et duveteux. Il le transplanta dans son village, donnant naissance au cultivar « Fuding Da Bai », le Grand Blanc de Fuding, qui demeure aujourd'hui la variété de référence pour la production des plus grands thés blancs.
La fabrication du Tai Mu incarne la philosophie du «less is more». Contrairement aux autres familles de thé, le thé blanc ne subit ni roulage, ni torréfaction, ni intervention mécanique. Les feuilles fraîchement cueillies sont simplement disposées sur des claies de bambou pour un flétrissage naturel au soleil ou à l'ombre, durant cinquante à soixante heures selon les conditions climatiques. Cette lenteur maîtrisée permet une oxydation enzymatique subtile qui préserve intégralement la structure cellulaire des feuilles et leurs précieux composés aromatiques. Le séchage final, traditionnel et doux, parachève cette métamorphose silencieuse. Ainsi naît un thé que les Chinois appellent le « fossile vivant » de l'art du thé : l'expression la plus pure et la plus ancienne de la feuille de Camellia sinensis.
À Fuding, contrairement à d'autres régions productrices, il est coutume de ne pas consommer le thé blanc dans ses deux premières années, particulièrement pour les grades supérieurs. Le vieillissement patient révèle progressivement de nouvelles dimensions aromatiques, transformant la fraîcheur printanière en rondeur miellée. Cette tradition confère au Tai Mu une dimension temporelle rare : c'est un thé qui se bonifie avec les années, invitant à la patience et à la contemplation.
Accords mets et thés
La panna cotta à la fleur d’oranger, ornée de pétales de fleurs cristallisés, magnifie le Tai Mu par sa texture soyeuse et ses accents floraux. La douceur lactée et les notes d’oranger épousent le bouquet rose-pivoine du thé, tandis que les cristaux de fleurs accentuent sa fraîcheur printanière. L’ensemble crée un jeu subtil entre umami, vanille et fruits blancs : cette délicatesse révèle la pureté du Tai Mu, sans masquer sa légèreté aérienne.
Recette à base de thé blanc de Chine Tai Mu
Dans cette création raffinée, les noix de Saint-Jacques crues sont marinées dans une infusion légère de Tai Mu refroidie, révélant la pureté et les nuances florales du thé. Un filet d’huile d’agrumes (mandarine et combava) vient apporter vivacité et éclat, tout en soulignant le bouquet de pivoine blanche et de rose propre au Tai Mu. Quelques grains de fleur de sel rose d’Himalaya renforcent l’équilibre minéral du plat, dont la douceur iodée et l’élégance préservent la subtilité du thé, pour une expérience sensorielle, tout en transparence et harmonie.
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Couleur : Thé blanc
Origine : Mont Taimu, district de Fuding, province du Fujian, Sud-Est de la Chine.
Région : Le Mont Taimu, surnommé « le pays des merveilles au bord de la mer », s'élève majestueusement face à l'océan, avec ses pics escarpés enveloppés de brumes perpétuelles. À une altitude moyenne de 600 mètres, ses jardins de thé bénéficient d'un microclimat unique où l'air marin se mêle aux brises montagnardes. Cette alchimie entre terre, mer et ciel (roches granitiques, sols acides et nébulosité constante) façonne un terroir d'exception, reconnu comme le berceau originel du thé blanc chinois.
Aspect des feuilles séchées : Bourgeons duveteux d'un blanc argenté lumineux, recouverts d'un fin duvet protecteur appelé hao. Les feuilles présentent une élégance naturelle, à la fois délicates et charnues, témoignant d'une cueillette impériale réservée aux premières pousses du printemps.
Infusion : La liqueur dévoile une robe d'un jaune pâle cristallin, presque translucide, aux reflets dorés subtils.
Notes de dégustation : Au nez, le Tai Mu révèle un bouquet délicat de rose et de pivoine blanche, posé sur un fond d'herbe sèche et de foin fraîchement coupé. En bouche, la liqueur offre une texture soyeuse et aérienne, développant des nuances de pomme verte, une pointe d'umami et une finale douce légèrement vanillée. L'ensemble évoque une fraîcheur printanière d'une pureté remarquable.
Moment de dégustation : Grâce à sa teneur modérée en théine, le Tai Mu se savoure à tout moment de la journée, du réveil jusqu'au crépuscule.
Méthode de dégustation : Pour révéler la finesse du Tai Mu, privilégiez une infusion douce à 70 °C pendant 7 à 8 minutes. Une théière en porcelaine lui offre une expression limpide, mais il peut aussi être dégusté au gaiwan, ces petites tasses couvertes où l’on infuse, dévoile puis verse le thé en inclinant le couvercle pour retenir les feuilles. Cette méthode, précise et sensorielle, permet surtout de réaliser plusieurs infusions successives, chacune révélant une facette nouvelle de ses notes florales, de sa texture soyeuse et de sa délicate longueur.
Au sommet du Mont Taimu, là où les nuages effleurent la cime des théiers, s'écrit depuis des millénaires l'histoire du thé blanc. Ce massif sacré du Fujian, mentionné dès le 8e siècle dans le « Classique du Thé » de Lu Yu, est considéré comme la Montagne du Thé Blanc originelle.
La légende enracine plus profondément encore cette origine dans le temps mythique. Sous le règne de l'empereur Yao, il y a près de quatre mille ans, une femme nommée Langu vivait sur les pentes du Mont Taimu. Herboriste et guérisseuse, elle cultivait un théier aux bourgeons argentés qu'elle appelait « Bourgeon de Neige Verte ». Lorsqu'une épidémie de rougeole frappa la région, décimant les enfants des villages environnants, Langu cueillit les précieuses feuilles de son théier et enseigna aux familles comment les préparer en infusion. Miraculeusement, les enfants guérirent. En reconnaissance de ce bienfait, les habitants la vénérèrent comme une divinité, lui donnant le titre de « Taimu Niangniang », l'Impératrice du Mont Taimu.
A la toute fin du 18e siècle, le thé blanc moderne prit véritablement forme. Un marchand de thé nommé Chen Huan, originaire du village de Bailiu, découvrit sur les flancs du Mont Taimu un théier sauvage aux bourgeons exceptionnellement charnus et duveteux. Il le transplanta dans son village, donnant naissance au cultivar « Fuding Da Bai », le Grand Blanc de Fuding, qui demeure aujourd'hui la variété de référence pour la production des plus grands thés blancs.
La fabrication du Tai Mu incarne la philosophie du «less is more». Contrairement aux autres familles de thé, le thé blanc ne subit ni roulage, ni torréfaction, ni intervention mécanique. Les feuilles fraîchement cueillies sont simplement disposées sur des claies de bambou pour un flétrissage naturel au soleil ou à l'ombre, durant cinquante à soixante heures selon les conditions climatiques. Cette lenteur maîtrisée permet une oxydation enzymatique subtile qui préserve intégralement la structure cellulaire des feuilles et leurs précieux composés aromatiques. Le séchage final, traditionnel et doux, parachève cette métamorphose silencieuse. Ainsi naît un thé que les Chinois appellent le « fossile vivant » de l'art du thé : l'expression la plus pure et la plus ancienne de la feuille de Camellia sinensis.
À Fuding, contrairement à d'autres régions productrices, il est coutume de ne pas consommer le thé blanc dans ses deux premières années, particulièrement pour les grades supérieurs. Le vieillissement patient révèle progressivement de nouvelles dimensions aromatiques, transformant la fraîcheur printanière en rondeur miellée. Cette tradition confère au Tai Mu une dimension temporelle rare : c'est un thé qui se bonifie avec les années, invitant à la patience et à la contemplation.
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Le supplément d’âme Betjeman & Barton
Un bouquet floral éclatant dans une tasse cristalline, comme un souffle capturé sur le Mont Taimu.
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