Chez Betjeman and Barton, chaque thé rend hommage à celles et ceux qui, un jour, ont esquissé un pas dans l’histoire de notre maison. Comme une Étoile est né ainsi, en clin d’œil à une petite ballerine discrète et lumineuse : Alix Betjeman, fille de notre fondateur.
Type de thé
À l’œil, les longues feuilles d’un vert éclatant semblent virevolter parmi les pétales rose tendre et orangés, comme autant de tutus en mouvement. Sur une base de thé vert de Chine, la tasse offre une liqueur, d’un vert pâle auréolé de reflets dorés.
Notes présentes dans le thé vert Comme une Etoile
Les effluves s’ouvrent sur la douceur juteuse de la pêche, bientôt relevée par l'acidité du kiwi et l’élan citronné de la bergamote. En fond de scène, la violette, délicate et poudrée, se mêle à la fleur d’oranger, suave et enveloppante. Une promesse d'infusion comme un adage, fluide, gracieuse, pleine de lumière et de retenue.
Dégustation de Comme une étoile
La dégustation de Comme une Étoile évoque un moment suspendu. En bouche, le thé danse, fluide, gracieux, dévoilant successivement ses accords fruités puis floraux. La pêche blanche, juteuse et douce, s’épanouit dès les premières secondes en bouche. Elle est bientôt suivie par l’éclat acidulé du kiwi, qui apporte une pointe vive, presque espiègle. En fond, la bergamote vient ciseler l’ensemble d’un trait citronné, léger et brillant. Chaque gorgée est une variation : tantôt légère, tantôt plus ample, toujours élégante.
Le meilleur moment pour déguster Comme une étoile
Il y a des moments où l’on cherche simplement à respirer, à se recentrer, à retrouver un peu de douceur dans le tumulte du quotidien. Comme une Étoile se savoure dans ces instants-là. Au réveil, quand la maison dort encore, et que le jour glisse timidement sur les vitres. Ou bien à l’heure du silence, entre deux élans, quand le cœur réclame une pause légère, un souffle. C’est un thé pour celles et ceux qui aiment s’offrir une échappée, infusée de lumière, loin du bruit. Un moment pour soi, délicat et précieux, comme une révérence intérieure.
Fleur d'oranger, violette, kiwi, pêche, bergamote
Un Souvenir de Tulle et de Lumière
Dans la famille Betjeman, chacun a une âme d’artiste … Alix, elle, dansait. Fine et gracile, la nuque bien droite, les bras pleins de promesses, elle répétait ses pas chassés dans une petite école de danse nichée à deux rues de notre boutique historique du boulevard Malesherbes.
Son père aimait aller la chercher. Il s’y rendait discrètement, souvent en fin d’après-midi, quand la lumière dorée de Paris effleurait les façades haussmanniennes et glissait sur les vitres embuées du studio. Dès l’entrée, il était saisi par une atmosphère à part : un silence doux, chargé d’attente et d’élan. Dans l’air flottaient des parfums mêlés de violette et de poudre de riz, une touche de fleur d’oranger sur les poignets, quelques gouttes de bergamote échappées d’un flacon dans un sac de danse.
Le souffle de la création
Il se souvient des carnets de danse ouverts sur les genoux, où les petites étoiles griffonnaient des fleurs ou collaient des pétales séchés comme on garde un secret. Et puis, à la sortie, il y avait parfois un sachet de bonbons à la pêche, ou une violette cristallisée offerte à la volée.
C’est dans ce décor tendre et suspendu que l’inspiration lui vint. Ce thé, il l’a voulu doux comme un souffle, délicat comme un entrechat, lumineux comme le regard de sa fille au sortir d’un cours. Un hommage infusé à l’enfance en pointes, à la poésie muette des studios de danse, et à l’élégance d’une petite étoile qu’il regardait grandir.
20269
Chez Betjeman and Barton, chaque thé rend hommage à celles et ceux qui, un jour, ont esquissé un pas dans l’histoire de notre maison. Comme une Étoile est né ainsi, en clin d’œil à une petite ballerine discrète et lumineuse : Alix Betjeman, fille de notre fondateur.
Type de thé
À l’œil, les longues feuilles d’un vert éclatant semblent virevolter parmi les pétales rose tendre et orangés, comme autant de tutus en mouvement. Sur une base de thé vert de Chine, la tasse offre une liqueur, d’un vert pâle auréolé de reflets dorés.
Notes présentes dans le thé vert Comme une Etoile
Les effluves s’ouvrent sur la douceur juteuse de la pêche, bientôt relevée par l'acidité du kiwi et l’élan citronné de la bergamote. En fond de scène, la violette, délicate et poudrée, se mêle à la fleur d’oranger, suave et enveloppante. Une promesse d'infusion comme un adage, fluide, gracieuse, pleine de lumière et de retenue.
Dégustation de Comme une étoile
La dégustation de Comme une Étoile évoque un moment suspendu. En bouche, le thé danse, fluide, gracieux, dévoilant successivement ses accords fruités puis floraux. La pêche blanche, juteuse et douce, s’épanouit dès les premières secondes en bouche. Elle est bientôt suivie par l’éclat acidulé du kiwi, qui apporte une pointe vive, presque espiègle. En fond, la bergamote vient ciseler l’ensemble d’un trait citronné, léger et brillant. Chaque gorgée est une variation : tantôt légère, tantôt plus ample, toujours élégante.
Le meilleur moment pour déguster Comme une étoile
Il y a des moments où l’on cherche simplement à respirer, à se recentrer, à retrouver un peu de douceur dans le tumulte du quotidien. Comme une Étoile se savoure dans ces instants-là. Au réveil, quand la maison dort encore, et que le jour glisse timidement sur les vitres. Ou bien à l’heure du silence, entre deux élans, quand le cœur réclame une pause légère, un souffle. C’est un thé pour celles et ceux qui aiment s’offrir une échappée, infusée de lumière, loin du bruit. Un moment pour soi, délicat et précieux, comme une révérence intérieure.
Fleur d'oranger, violette, kiwi, pêche, bergamote
Un Souvenir de Tulle et de Lumière
Dans la famille Betjeman, chacun a une âme d’artiste … Alix, elle, dansait. Fine et gracile, la nuque bien droite, les bras pleins de promesses, elle répétait ses pas chassés dans une petite école de danse nichée à deux rues de notre boutique historique du boulevard Malesherbes.
Son père aimait aller la chercher. Il s’y rendait discrètement, souvent en fin d’après-midi, quand la lumière dorée de Paris effleurait les façades haussmanniennes et glissait sur les vitres embuées du studio. Dès l’entrée, il était saisi par une atmosphère à part : un silence doux, chargé d’attente et d’élan. Dans l’air flottaient des parfums mêlés de violette et de poudre de riz, une touche de fleur d’oranger sur les poignets, quelques gouttes de bergamote échappées d’un flacon dans un sac de danse.
Le souffle de la création
Il se souvient des carnets de danse ouverts sur les genoux, où les petites étoiles griffonnaient des fleurs ou collaient des pétales séchés comme on garde un secret. Et puis, à la sortie, il y avait parfois un sachet de bonbons à la pêche, ou une violette cristallisée offerte à la volée.
C’est dans ce décor tendre et suspendu que l’inspiration lui vint. Ce thé, il l’a voulu doux comme un souffle, délicat comme un entrechat, lumineux comme le regard de sa fille au sortir d’un cours. Un hommage infusé à l’enfance en pointes, à la poésie muette des studios de danse, et à l’élégance d’une petite étoile qu’il regardait grandir.
