Thé noir Paris s’éveille - Le goût des matins parisiens
Parce que la mémoire du goût est peut-être la plus fidèle : celle qui survit au tumulte, aux années, aux silences. Paris s’éveille est le thé de tous ces matins gravés à demi-mot. Ceux des petits-déjeuners volés à l’aube, quand les toits parisiens sommeillent encore sous une brume pâle.
C’est un wulong de grande douceur, issu d’une oxydation généreuse qui lui donne la robe ambrée et les reflets chaleureux d’un thé noir, tout en conservant une texture soyeuse, caressante, sans la moindre astringence. Dès la première gorgée, le charme opère. En bouche, s’installent la rondeur d’un chocolat lacté, la chaleur réconfortante de céréales légèrement toastées, la tendresse d’un pain au lait encore tiède. Puis vient une note de toffee, fondante et beurrée, presque caramélisée, qui tapisse le palais d’une gourmandise fluide et enveloppante. Un thé du matin, gourmand mais sans excès, dont l’équilibre subtil séduit autant les palais classiques que les amateurs d’infusions réconfortantes.
Un hommage à Paris, et à une femme qui s’y réveille chaque jour
Paris s’éveille porte un nom, un moment… et un clin d’œil. Celui de notre directrice, Agnès, parisienne dans l’âme, dans l’allure et dans le cœur, épicurienne et généreuse, qui commence chaque matin avec son thé comme d’autres avec un café : avec intensité et précision.
Elle voulait un thé qui lui ressemble. Pas un noir corsé, ni un parfumé trop léger, mais une matière feutrée, enveloppante, à l’image d’un manteau bien taillé. Quelque chose d’ancré et de raffiné, de tendre et de contemporain. Le choix du oolong s’est imposé naturellement : pour sa noblesse discrète, sa douceur grillée, sa profondeur caressante. Puis sont venues les notes : celles du chocolat chaud, du pain grillé, d’une tasse Royal Worcester posée sur la table encore tiède d’un matin d’hiver.
Ce thé-là, Agnès l’a imaginé comme un retour sensoriel vers les petits-déjeuners de l’enfance. Un parfum de cacao dans la cuisine, un morceau de brioche, une lumière douce sur le parquet ciré. Une gorgée d’intimité, ancrée dans le présent, portée par la modernité de la Maison, une gourmandise juste, jamais sucrée, toujours maîtrisée.
Il est cinq heures… Paris s’éveille
Si ce thé accompagne les aurores d’Agnès, businesswoman au pas décidé, il sait aussi se faire complice des heures plus lentes. Car Paris s’éveille se savoure autant au petit matin, quand « la cloche de Notre-Dame a sonné », qu’à l’heure du five o’clock tea, dans une fine porcelaine, dans le calme d’un salon retrouvé. Son profil chaleureux se marie parfaitement à des douceurs simples et raffinées : une madeleine nature, un financier aux amandes, une brioche feuilletée ou un sablé au caramel. Pour un accord plus britannique, on l’accompagnera d’un shortbread au beurre salé ou d’un scone tiède à la confiture de figue. À chaque dégustation, c’est un peu de cette lumière parisienne qui affleure ce mélange unique de poésie et de précision, de tendresse et de mouvement. Un thé pour celles et ceux qui rêvent encore un peu, même lorsque « la ville s’éveille, et les amoureux s’endorment ».
